LES CAUSES ET LES CONSÉQUENCES DE LA DÉFORMATION DU SQUELETTE

Le squelette se déforme, selon certains, à cause de l’âge, alors que d’autres allignent des postures habituelles incorrectes. Bien qu’il soit certain qu’il y ait un nombre élevé d’opinions différentes au sujet de ces causes, les opinions ne servent pas à grand chose si nous ne sommes pas capables de connaître la cause de la déformation, la pathologie dont elle est dérivée et, ce qui est le plus important, la corrigée.
Afin de développer ce sujet nous aurons recours à l’analyse et la comparation de 2 figures (figs. 1 et 2). La première, symétrique, est un modèle de système en équilibre. Nous pouvons observer que les lignes horizontales qui passent par les épaules, le bassin et le plan du sol sont parallèles entre elles. La colonne vertébrale aparaît droite et perperndiculaire au bassin et divise le tronc en deux hemitorax symétriques. Les espaces des côtés de la colonne vertébrale, à la hauteur du bassin, sont équidistantes et sont occupées par les muscles appartenant à cette zone, situés tout au long de la colonne et responsables de sa perpendicularité. Ce sont des muscles paires qui sont égaux de formes et de forces, et constituent ce qui s’entend comme état de la parité des forces que la physique défini comme formes et de forces, et constituent ce qui s’entend comme état de la parité des forces que la physique défini comme forces égales en intensité et sens contraire, donnant un résultat zéro et réalisant l’equilibre entre ces deux forces. L’angle bassin-fémur d’un côté est égal à l’angle du côté homologue; de même qu’avec les angles que forment la ceinture scapulaire et l’humérus.
Le dessin 2 présente une asymétrie du fait que les lignes qui passent par les épaules, le bassin et le plan du sol ne sont pas paralléles entre elles. La colonne vertébrale n’apparaît pas droite et perpendiculaire au bassin et ne divise pas les 2 hémitorax symétriques. Les espaces des côtés de la colonne vertébrale ne sont pas équidistants et les muscles qui les occuppent tout au long de la colonne vertébrale ont perdu l’égalité de leurs forces pour réussir la perpendicularité. Ce sont des muscles paires, mais inégaux en forces et en formes, ils constituent donc un système en désequilibre. L’angle qui se forme entre le bassin et le fémur d’un côté est différent au côté homologue. De même, cela se produit avec les angles qui se forment depuis la ceinture scapulaire et ses humérus respectifs.
En comparant les deux figures, nous voyons que por la première, la distance entre la ligne du sol et du bassin est la même des deux côtés, alors que pour la seconde, la distance est plus grande d’un côté. Une observation superficielle de cette structure asysmétrique pourrait nous amener à supposer que si la distance entre la ligne du sol et du bassin est inférieure d’un côté que d’un autre, cela est dû à ce que une jambe est plus courte que l’autre. Cela est une question qu’il faut examiner avec soin. Les jambes et les pieds exercent des fonctions différents: les jambes sont deux extremités rigides et ont pour fonction de soutenir, articulées par un point de fléxion (les genoux) et que nous mesurons avec des unités de longueur.
Les pieds sont deux extrémités fléxibles qui possédent une grande capacité articulaire et qui, grâce à de nombroux points de fléxion présentent une voûte élastique.
Du fait que les pieds soient élastiques (comme un ressort) nous ne pourrons pas les mesurer avec des unités de longueur, sinon que nous devrons le faire avec des unités de force, c’est-à-dire en newtons ou en kilogramme-force. Mesurer jambe et pied avec des unités de la même grandeur, de longueur, peut nous amener à des appretiations érronées et à considerer une jambe plus courte que l’autre lorsque la différence est apparente mais pas réelle. Revenons au dessin 2: la plus petite longueur du segment (a) par rapport au segment (b) sera dûe à un plus grand écrasement de la voûte plantaire (c) qui présente moins de résistance que la voûte plantaire (d), et cela nous la vérifions en mesurant (en newtons ou en kilogramme-force, jamais en centimetres) les résistances des voûtes. De cette manière nous pouvons expliquer la difference virtuelle de la jambe. Cette mesure virtuelle non réelle de la jambe nous amene à placer une talonette dans la chaussure, avec la certitude de corriger une grandeur réelle, alors qu’elle n’est pas qu’apparente, et de cette manière nous ne faisons qie déformer plus le squelette, parce que nous ignorons la cause, c’est-à-dire l’écrasement pour une moindre résistance du soutient de la voûte plantaire.
La déformation que présene le second dessin par rapport à la première est dûe à l’incidence qu’à la force de gravité sur le squelette quand celui-ci présente une altération de la statique. Ces deux facteurs, la gravité et la altération de la statique sont les deux résponsables de la déformation du squelette (1). Maintenant nous verrons pourquoi.



La position oblique du bassin entraîne de serieuses altérations de la hanche et de la colonne vertébrale qui touchent non seulement les os du bassint et des fémurs, mais aussi affecte par compression à l’harmonie et le bon fonctionnement du système neuromusculaire et de la circulation sanguine, de la quelle dépend, en grande partie, la circulation en retour. Selon les degrés d’ouverture de l’angle formé par le bassin et le fémur correspondant, la différence entre les angles de l’un ou de l’autre côté occasionera une barrière de retenue qui rendra difficile le passage du sang en retour (de là à penser qu’il y ait une relation avec la tromboangitis obliterante ou maladie de Buerger). Ce qui entrâine le ramolisement des veines, ce qui peut provoquer à long terme une nouvelle pathologie, cela concerne sourtout les personnes qui par leur profession passent beaucoup d’heures débout.
  1. Parmi les pathologies provoqués par le déséquilibre du bassin, il existe un ensemble
  2. Commun dont la cause provient de la bascularité du bassin: la ostéocondritis coxofémoral. La maladie consiste en une nécrose du noyau épiphysaire supérieur du fémur de manière lente et subreptice qui rappelle les premières phases de la coxitis tuberculose. A la lumière d’un examen radiologique on pourrait confirmer ce diagnostic en découvrant l’existence de taches sur la épiphysedes lons os d’etiologie ischémique par comprehénsion, qui par raréfaction osseuse, s’obscurcissent une excroissance condensation. La tête du fémur se loge dans la cavité cotyloïde. Cette tête présente sur la zone supérieur une excroissance qui, lorsque la hanche est inclinée, pressione contre la tête du fémur.Cette pression se traduit par une ischémie qui lésione et inflamme la cavité cotyloïde; se présent de forme unilatérale, parfois avec des symtômes tardifs. En ce qui concerne l’origine de cet ensemble, il y a différentes opinions; il y a des auteurs qui croient à une cause congénitale, microbienne, post-traumatique, et d’autres le relatinne avec des altérations d’origine hormonale tyroïdienne et hipophisaire et d’autres avec le rachitisme. Chez l’enfant, la maladie (de Waldenstroën, Calvé, Legg et Perthes) présente quelques gênes à la hanche qui le fait boîter sans qu’il sente de doleurs. Cette doleur se manifeste dans un second temps, au niveau de la hanche et de la jambe. Parfois on découbre dans le muscle une réduction hipotrophique des muscles (dû au manque d’activité) et une certaine raideur de l’articulation de la hanche. Du fait que sont touchés autant les noyaux épiphisaires que les cartilages juxtaepiphisaires, ce sont ces derniers desquels dépend le dévéloppement regulier en longueur des os longs et donc de la croissance, et du fait que l’on ne conaissait aucune cause qui justifiait les gênes ou la doleur, la maladie a reçu des noms tant pittoresques comme "doleur de la croissance" et s’est expliqué comme ostiochondropatie de la croissance. Quand cette pathologie correspond à des desquilibres physico-structuraux, la maladie se determine dans une période qui n’est pas superieure à 12 mois. Si la situation du bassin soumet les fibres nerveuses des neurones motrices à une agression mécanique, que ce soit un traumatisme direct, un étirement ou une compression, le massage peu être interrompu, rendant la gravité inégale. Dans la première phase, il peut se produire une diminution de la fonction musculaire moteur (parésie) généralement dans les jambes. Si la compression, le traumatisme ou l’étirement se maintienent, dans une seconde phase prédomine l’altération sensitive, consécutive à des lésions du système nerveux (paresthésie) avec la mise en route d’un syndrome de souffrance radiculaire dans le cas où il s’agit d’une lésion neurologique pré-éxistante correspondant à un bassin déplacé latéralement, les crampes sont constantes, comme dans une sciatalgie.
  1. Le basculement du bassin n’est pas l’unique conséquence de l’altération de la statique; Avant nous avons vu ce que vertébraux. Lesquels génrérent une inflammation dans les structures adjacentes et dans ces mêmes corps vertébraux, dont la graisse épidural envahie la lumière du canal rachidien produisant esténosis ou l’oblitération de ce même canal. Le galbe des anneaux vertébraux augmente, du fait qu’ils augmente de volume et s’extériorisent en protusions lésionant ainsi le réseau nerveaux qui passe par eux, favorisant par compression, des situations de souffrance.
  2. Une lésion isolée d’un élement nerveux périphérique révèle presque toujours une agression mécanique: traumatisme direct, étirement ou compression, de gravité inégales selon dans l’état où se trouve le plexus. La compression d’un nerf occasione une intérruption fonctionnel. Le trouble est immédiat et totalement reversible si la compression, l’étirement ou le traumatisme qui est à l’origine ne se maintient pas. D’une compression ou d’une étirement prolongé et/ou d’un microtraumatisme répeté, peuvent entraîner des lésions démyélinisation segmentaire eet un blocage durable de la conduction. Le déficit fonctionnel est total ou seulement partiel. La régression commence rapidement quand la cause agrésive d’élimine produisant une remyélinisation qui peut être plus ou moins lente selon si la compression a été prolongée et a produit de manière associé des lésions cylindraxe. Quelques lésions par étirement ou ischemie majeure peut occasioner un trouble fonctionnel sevère et durable par l’interrumption cylindraxil avec une dégénérescence walerienne. La régression obeira aux lois de la régémérescence a partir du cap proximale (1.5 mm/jour). Dans la mesure ou il n’y a pas de fracture d’un tube endoneuro, la récuperation fonctionnel sera satisfaisante.
  3. Il est frequent le rapport entre la déformation du squelette et quelques pathologies qui affectent au plexus brachial et cervical. Quand l’angle que forme la ceinture scapulaire et l’humérus d’un côté n’est pas égal à son homologue, il s’est produira une scoliose cervicale qui produit des traumatismes d’action mécanique et de nature compressive, des étirements et torsion de rachis. L’étirement a lieu dans la défilé des muscles scalénes angulaire de l’omoplate et grand dentelé. Cela favorisé par la courbe scoliotique cervical qui fait descendre l’épaule et à la fois rompt le rachis avec le tronc, inclinant l’omplate jusqu’à une position en forme d’aile avec une déformation de la cage thoracique, produisant l’écroulement des côtés du flonc thoracique correspondant et lésionant les racines du plexus et nerfs périphériques (fig. 4).
    L’intérruption du grand dentelé occasione une paralysie, un écroulemet et un basculement de l’omoplate. Celle du nerf circonflexe, la paralysie et l’antrophir des deltoïdes et du grand rond, et l’anesthésie du moignon de l’épaule. L’intérruption du nerf musculo-cutanée peut se produire aussi par des lésions traumatiques directes. Égalemetn, le nerf radial moyen, le cubitus et d’autres sont susceptibles d’être blessés par l’action mécanique qu’exerce sur eux la déformation du squelette. L’étiremet du plexus brachial dans le défilé costoscalènique manifeste des signes neurologiques importants: paresthésies, hyposthésies dans le territoire D1 et parfois déficit moteur et amyotrophie. A ces symptômes neurologiques peuvent s’associer des vasculaires, comme le syndrome de Raynaud.

UNE THÉRAPIE MEDICO-ÉTIOLOGIQUE PATHOGÈNIQUE
Nous avons vu uen pathologie diverse qui répond à une cause commune: altération de la statique. Le traitement de l’altération de la satique doit s’occuper de divers aspects; En première lieu, il convient de corriger l’équilibre par l’intermediare d’orthopedie pédique. L’orthopedie doit rendre au pied son état fonctionnel de suppot équilibré, pour cela, on doit retrover dans celle-ci tous les paramétres qu’à le pied par nature, et la fonction qui correspond à chacune de ses parties. Il faudra aussi traiter la tonification musculaire, les rétractions, les spasmes musculaires et l’ankylose dans le système articulaire, mobilisant les muscles avec des exercices actifs et controlés. L’autre aspect important c’est la chaussure, il fau une chaussure aussi large et longue que le pied, raisonablement attachée, qui maintient le pied horizontalement sur le sol. Nous ne devons par négliger l’équilibre du squelette quand il y a une position de repos. Le lit devra offir des conditions bien precises: une structure rigide et dure, un matelas modelable confectionné avec des fibres élastiques naturelles, de 15 à 25 cm de grosseur selon le poids de la personne.

L’altération de la statique, cette anormalie des pieds présente approximativement chez 95% de la population, génére des infirmités à différents niveaux qui, à travers les temps, ont reçu différentes explications: quelques unes, fleuves et pittoresques, comme la douleur de la croissance et d’autres, c’est qui est pire, un melange clinique ou sintomalogie propice à la confusion, comme c’est le cas de ostéocondritis, Perthes, etc... Mais, en dernier cas, est responsable de méralgies, paresthésies, gonalgies, lombalgies, accompagnées de sciatalgies sevères et cervicalgies importantes qui peuvent aussi affecter l’ensemble vasculo-nerveux, donnat lieu à disathésies qui, dans quelques cas particuliers, peuvent aussi imiter des phénoménes de type Reynaud ou syndrome du plexus branchial ou d’une maladie de Buerger ou tromboangitis obliterante. Comme on sait, ces lésions sont idiopathiques et elles ont des facteurs étiologiques divers, parmi lesquels on trouve aussi des procès mécaniques, car ils favorisent leur progression chez les personnes qui possédent un phénotype spécipique.
  1. Maure F. Tratado de podología. Barcelona: JIMS. 1997; 3-19 Y 26.
  2. El manual Merks de diagnóstico y terapéutica. Nueva York: Harcourt Brace, 1992; 644-646.
  3. Segatore L. Diccionario médico. Madrid: Teide 1963; 943-944.
  4. Apley A.G. Ortopedia y tratamiento de fracturas. Barcelona: Salomón – Masson, 1996; 423-429.
  5. Cambier J et al. Manual de neurología. Barcelona: Toray – Masson, 1981; 190-192.
  6. El manual Merk de diagnóstico y terapéutica. Nueva York: Harcourt Brace, 1992; 646-648.
  7. El manual Merk de diagnóstico y terapéutica. Nueva York: Harcourt Brace, 1992; 644-646.

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